Santé

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Un programme Anti-Stress spécialement pour vous !

Un programme spécial contre le stress !

Dans cette vidéo, je vous annonce le lancement officiel de mon tout nouveau programme pour stopper radicalement le stress et retrouver la joie de vivre et la sérénité en seulement en quelques minutes par jour !

Pour aider les personnes stressées à retrouver la légèreté et le sourire, j’ai mis au point un programme de 6 semaines qui vous apprend pas à pas à éliminer efficacement votre stress et aller vers une qualité de vie meilleure.

Je vous dis tout dans cette vidéo :


Lancement imminent !

Mon premier programme Anti-stress !

Je suis très excité car c’est pour très bientôt !
Comme je vous le disais dans les derniers mails, je suis sur le point de lancer mon tout premier programme pour stopper le stress en quelques minutes par jour !

Après les premiers tests, ce projet qui est l’aboutissement de tout un travail, donne de trés bons résultats !

Ses avantages :
► C’est simple.
► C’est pratique.
► C’est efficace.
► C’est trés abordable.
► C’est prouvé scientifiquement.
► Et ça ne demande que quelques minutes par jour !

Son inconvénient :
Ce programme est exclusivement réservé aux femmes ! 😉

Je vous explique pourquoi dans cette vidéo ci-dessous :


 Attention, le STRESS rend idiot !

C’est maintenant prouvé par les neurosciences : le stress rend complètement idiot !

Dans cette vidéo, je vous explique concrètement comment le stress agit directement sur votre cerveau en produisant 2 actions nuisibles :
1. Il désynchronise les différentes parties de votre cerveau,
2. Il fait fonctionner votre cerveau en ondes « Bêta de hautes fréquences », ce qui a pour conséquence directe de vous priver de 3 capacités mentales essentielles pour vous.

Je vous révèle tout cela dans la vidéo ci-dessous…

Cliquez sur la vignette ci-dessous pour découvrir la vidéo. 😉

 


Les 3 sources et les 4 caractéristiques du stress

 

STRESS !

On parle souvent du phénomène du stress en général mais de quoi parle t-on précisément ?

A quel type de stress fait-on référence exactement ?
Quelle est sa source ?
De quoi est-il fait et quel est le sentiment qu’il fait naître en nous ?
Qu’est-ce qui nous fait peur ?

Vous allez découvrir dans cet article ci-dessous qu’il existe trois principales sources de stress et que celui-ci peut se ranger en quatre types de menaces bien différentes.

crédit photo : Pixabay

Les 3 principales sources de stress

Il existe trois grandes sources de stress que l’on peut classer de cette façon :

1. Le stress physique

Il est lié à une santé défaillante, une maladie, une blessure, un accident, une agression physique, au manque de sommeil, un pays en guerre…

2. Le stress chimique

Il est lié à un virus ou une bactérie, aux hormones, à l’alimentation, aux perturbateurs endocriniens, à la pollution, aux produits chimiques ou aux addictions.

3. Le stress émotionnel

On peut lui-même le diviser en plusieurs sous-ensembles qui sont :

  • les problèmes relationnels et familiaux ( la solitude, les problèmes de couple ou de famille, une rupture affective, le divorce, le veuvage, le deuil, le changement de cycle de vie… ),
  • les difficultés professionnelles ( la surcharge de travail, l’incertitude quant à l’emploi, le manque de formation, le manque de soutien au travail et les relations de travail, le harcèlement, la recherche d’emploi et le chômage ),
  • Les autres difficultés ( un déménagement, vivre dans un quartier peu sécurisé, un logement précaire, l’endettement, les problèmes d’intégration… ).

 

Les quatre caractéristiques du stress

Les scientifiques ont également mis à jour quatre différentes types de menaces qui induisent une réponse de stress. Ces quatre types de menaces s’appellent : le contrôle faible, l’imprévisibilité, la nouveauté et l’égo menacé.
Chacune de ces menaces génère un sentiment qui crée la réponse de stress, comme l’indique le tableau ci-dessous :

MENACE

SENTIMENT

Contrôle faible

Je n’ai aucun contrôle sur la situation

Imprévisibilité

Je ne sais pas du tout ce qui va se produire

Nouveauté

Je n’ai jamais vécu ou expérimenté cela

Ego menacé

Je me sens mis à l’épreuve. Je doute de mes capacités

Quelques exemples dans la vie quotidienne

Vous êtes en retard pour un rdv important et vous êtes pris dans un énorme bouchon.
« Je n’ai aucun contrôle sur la situation ! » (contrôle faible)

Votre patron a un tempérament changeant et chaque jour vous réserve une nouvelle surprise.
« Je ne sais pas ce qui va se produire ! » (imprévisibilité)

Vous attendez votre premier enfant.
« Je n’ai jamais vécu cela ! » (nouveauté)

Un nouveau collègue vous questionne sur votre façon de travailler.
« Je me sens mis à l’épreuve ! » (égo menacé)

 

Et vous, comment est votre stress ?…

 


Le stress : ami ou ennemi de votre cerveau ?

Aux origines du stress…

0n entend souvent dire que le stress, c’est le mal du siècle et c’est probablement vrai ! Mais, contrairement à ce que la plupart des gens pensent, le stress est avant tout une très bonne chose.

A l’origine, le stress est un réflexe de survie. C’est une formidable capacité qui a nous permis de rester en vie face aux dangers de la nature depuis la nuit des temps. En effet, le stress représente avant tout une merveilleuse fonction adaptative pour réagir de façon rapide et efficace à un danger potentiel. Cette aptitude nous permet de mettre le corps et l’esprit en action instantanément, dès qu’il y a un risque pour notre survie, de façon à pouvoir se protéger ou se défendre.

* Crédit photo : Pixabay

Pépé échappe au dinosaure !

Imaginez votre arrière arrière-grand-père, l’homme de Cro-Magnon, en train de chasser dans la savane. Soudain arrive derrière lui un dinosaure qui l’envisage comme une proie potentielle.

En entendant un grognement sinistre, pépé sursaute ! Sous l’effet du stress et de ses hormones, notre homme de Cro-Magnon se met instantanément en mode survie. Le ressenti du stress provoque une réponse du corps par la sécrétion d’hormones. Cette fonction qui renvoie à des mécanismes adaptatifs ancestraux sert à mobiliser une énorme quantité d’énergie pour le préparer à se défendre ou à courir.

Son corps se met à produire en grande quantité les hormones du stress (Adrénaline, Cortisol). Grâce à ce « mode survie », tous ses sens sont soudain plus aiguisés, les ondes de son cerveau accélèrent et ses forces sont comme démultipliées. Il voit mieux, entend mieux, réfléchit plus vite et il est prêt à se battre ou à fuir (réaction du stress appelée en anglais « fight or flight »).

Dans le cas d’un dinosaure, la sagesse va plutôt le conduire à choisir la fuite et notre pépé va bientôt courir plus vite qu’il n’a jamais couru pour se mettre à l’abri !

Mais il aurait aussi bien pu choisir de rester immobilisé sur place comme un lapin dans les phares de la voiture (car dans ses gênes il a mémorisé depuis des générations que les grands prédateurs ne repèrent que le mouvement).

Voilà une belle réaction rapide et efficace à un danger ! Sans stress, point de survie et les hommes auraient disparus de la surface de la terre depuis longtemps, au même titre que d’autres espèces comme les dinosaures d’ailleurs.

 

Encore plus vieux que Pépé !

La bactérie. Tel est le nom de notre plus ancien arrière-arrière-grand-père. Voilà le nom de la structure organique qui a régné le plus longtemps et le plus largement sur terre. Si notre planète est âgée d’environ cinq milliards d’années, la première bactérie est apparue il y a environ trois milliards d’années.

L’évolution de la vie sur Terre est un processus lent qui a pris plusieurs milliards d’année et qui peut se résumer simplement selon les étapes suivantes :

  • Etape 1 : ce n’est qu’après que notre terre a déjà parcouru les trois quarts de son existence jusqu’à nos jours (un quart dans le silence, deux quarts avec des bactéries pour seuls habitants) qu’apparaît la première cellule à noyau.
  • Etape 2 : les bactéries donnent ensuite naissance à une branche évoluée : les algues bleues. Contrairement à leurs ancêtres, elles aiment l’oxygène, la lumière du soleil, elles sont l’avenir.
  • Etape 3 : les algues bleues donnent naissance à des formes de vie de plus en plus sophistiquées.
  • Etape 4 : les insectes apparaissent il y a 250 millions d’années.
  • Etape 5 : puis les hommes, bons retardataires, ont pointé le bout de leur nez il y a un million d’années.

Ces données en millions et milliards d’années sont tellement vertigineuses, qu’afin de mieux se rendre compte de ce que cela peut représenter, voici ci-dessous une présentation sous forme d’échelle kilométrique.

A titre d’exemple, si nous considérons que 10 milliards d’année (date de la formation de l’Univers) équivalent à 100km, alors :

100 km 10 milliards d’années Formation de l’Univers
50 km 5 milliards d’années Formation de la Terre
30 km 3 milliards d’années Premières formes de vie (les bactéries)
10 km 1 milliards d’années Méduses et coraux dans les océans
10 m

2 m

35 cm

2 cm

1 million d’années

200 000 ans

35 000 ans

2000 ans

Les premiers hommes

Homme de Néandertal

Homme de Cro-Magnon

Naissance du Christ

 * Crédit photo : Pixabay

Une accélération exponentielle !

Comme le montre le tableau ci-dessus, l’homme (dans sa version génétique la plus proche de ce que nous sommes aujourd’hui) est apparu sur Terre, il y a quelques 200 000 ans avec l’homme de Néandertal puis l’homme de Cro-Magnon.

Il a réussi à survivre au fil des millénaires car il s’est adapté rapidement à son environnement et a su réaliser des découvertes essentielles pour son évolution et sa survie (maîtrise du feu, de la chasse et la cueillette, découverte du silex…).

Pendant les premiers milliers d’années, l’évolution s’est faite paisiblement jusqu’aux prochaines découvertes importantes qui ont fait avancer l’humanité de manière plus rapides (découvertes de l’aiguille, de la roue, de l’élevage et de l’agriculture…).

 

Une accélération démentielle !

Mais ce n’est que très récemment que tout a changé brutalement ! En moins d’un siècle, l’homme a fait des découvertes majeures dans tous les domaines qui lui ont fait faire un bond gigantesque dans son style de vie.

Pour à nouveau mettre les choses en perspective, si les 200 000 ans d’existence de l’homme sur Terre étaient représentés par une journée de 24 heures, l’évolution à laquelle nous assistons depuis un siècle se serait faite dans la dernière minute !

Avec l’ère industrielle, la démocratisation des transports, l’explosion des technologies de communication au sens large (l’imprimerie puis la radio, la télévision, le téléphone, internet, les publicités…), les changements profonds dans notre mode d’alimentation (agriculture intensive et élevage industriels) et la modernisation de la vie en général, notre mode de vie a été profondément bouleversé.

Cette accélération démentielle et ces changements brutaux de nos styles de vie ont fait que notre cerveau et notre organisme dans son ensemble n’ont pas eu le temps de s’adapter à ce changement de rythme et ces bouleversements rapides et profonds de nos modes de vie.

Il y a encore 150 ans, la grande majorité de la population habitait à la campagne. La vie était rythmée par les cycles naturels du soleil et de la lune, les gens vivaient en permanence au contact de la nature, le travail dans les champs ou à la ferme demandait une activité physique permanente, on ne mangeait que des produits naturels et on ne croisait guère plus que quelques dizaines de personnes par jour dans les villages.

De nos jours, tout est différent et la vie qui nous semble plus confortable sur bien des plans dans les pays riches (accès à l’eau, au gaz, au chauffage, logement, nourriture en abondance et moyen de transports entre-autre) est devenu infiniment plus complexe à tout point de vue.

Cette complexité de la vie moderne et confortable a pour conséquences que notre corps souffre parce qu’il est de plus en plus coupé de ses besoins naturels. Les sources de stress liées à la survie en milieu naturel ont changé et les dangers modernes qui sont les nouveaux stresseurs sont maintenant :

  • Le manque de sommeil naturel : ce n’est plus le soleil qui a autorité mais le réveil matin
  • La nourriture industrielle (additifs, ogm, pesticides, hormones animales, perturbateurs endocriniens et autres produits chimiques …)
  • Le café, sucre, cigarettes, alcool, compléments alimentaires, stimulants et drogues
  • La pollution de l’air
  • La pollution sonore
  • Le manque de contact avec la nature
  • La lumière artificielle
  • Le décalage horaire…

On se demande comment l’être humain peut résister à tout cela depuis quelques dizaines d’années seulement ?

Mais en plus de cela, notre cerveau souffre également d’un rythme effréné pour lequel il n’a pas été conçu et auquel il n’est pas habitué avec les stimulations multiples et constantes de l’environnement :

  • Forte pression sociale économique (modèle de la réussite, peur du chômage, augmentation des divorces, les familles recomposées et éclatées…)
  • Moins de temps aujourd’hui pour les loisirs qu’il y a 50 ans
  • Peur des maladies (cancer, vih, dépression, burn-out…)
  • Bombardement constant d’informations via les médias : les messages vocaux sur la boite vocale, médias sociaux, mails, internet, télévision*, radio, publicités, les codes et mot de passe à retenir…
  • Sollicitations permanentes via les téléphones portables : appels, sms, mms…
  • La densité de population : dans les villes, on croise des milliers de personnes tous les jours et on échange des centaines de codes sociaux qui génèrent des « micro-stress » constants (bruits des voisins, la foule, le trafic, les sonneries de téléphones portables, etc.)
  • L’obligation de formation permanente pour s’adapter aux changements et évolutions technologiques : ordinateur, internet, smartphones, tablettes, format kindle et autres applications de plus en nombreuses. (A titre d’exemple : il y a deux fois plus de technologie aujourd’hui dans nos smartphones qu’à la NASA en 1969 !)

Conséquences de tout çà…

La vitesse à laquelle évolue la société crée donc forcément des conséquences liées aux difficultés de mutations de l’être humain dans un monde en perpétuelle évolution. Ces changements violents et rapides dans nos modes de vie séculaires ont bouleversé nos sens, notre activité cérébrale et notre vie*.

Ainsi des maladies apparaissent de plus en plus, telles que :

  • les troubles musculo-squeletiques (TMS)
  • la nervosité
  • l’anxiété, les crises d’angoisses et troubles anxieux
  • les troubles du sommeil et la fatigue
  • les migraines
  • les douleurs dorsales
  • les phobies
  • les dépressions
  • burn-out
  • les avc
  • les maladies cardiaques
  • les névroses et psychoses
  • les cancers, les maladies auto-immunes
  • et toutes les pathologies liées au stress.

Savoir s’adapter et agir maintenant !

Heureusement des solutions existent! Certaines sont nocives voire dangereuses pour l’être humains alors que d’autres sont efficaces et bénéfiques à long terme**. Chacun doit trouver sa formule pour traiter son stress de manière curative mais préférablement de façon préventive car, comme le dit l’adage : « si vous ne vous occupez pas de vos problèmes, ce sont eux qui vont s’occuper de vous. »

 

Alors passez à l’action maintenant ! 😉

 

Et si cet article vous a intéressé, n’hésitez pas à le partager avec les personnes de votre entourage qui pourraient être concernées par ce problème.

* D’après l’American Institute of Stress, ce fléau serait responsable de 75% à 90% des consultations médicales et de 60 à 80% des accidents du travail.
** Comme l’indique une étude faite par l’American Psychological Association.

Libérez-vous avec la technique de la cigarette invisible

Crédit photo : Steven Giacomelli / Pixabay

Vous avez l’impression que la cigarette vous calme ?

Alors lisez cet article car je vais vous donner une nouvelle solution beaucoup plus efficace et beaucoup plus confortable ( sans forcément être obligé de voter FN ).

Trois en une !

Dans l’addiction à la cigarette, il y a en fait trois addictions différentes :

  1. L’addiction physique.
    C’est celle que tout le monde croit avoir mais que très peu de gens ont. Si vous faites partie de ceux qui rentrent en transe dans un avion après deux heures de vol, qui sont pris de sueurs, de tremblements et de toutes les caractéristiques d’un drogué en état de manque, alors vous avez une véritable addiction physique à la cigarette.
  2. L’addiction psychologique
    Celle-ci est en revanche commune à la plupart des fumeurs. C’est la béquille psychologique, cette impression que la cigarette vous aide dans un certain nombre de situation de votre vie (pour réfléchir, pour mincir, pour gérer le stress, pour se donner une contenance en soirée, pour créer du lien avec les autres). Votre esprit est suffisamment puissant et cette pensée suffisamment forte pour que cela crée une véritable réaction physique (comme pour l’effet placebo par exemple).
  3. Le comportemental
    Ce sont les habitudes liées à la cigarette et c’est souvent la partie la plus importante. Vous avez fait le geste de fumer des milliers de fois (si vous fumez un paquet par jour, soit 20 cigarettes, et que vous portez une cigarette disons 10 fois à la bouche pour la fumer entièrement, vous faites le geste de fumer 200 fois par jour. Si vous fumez depuis 20 ans, vous aurez au final fait ce geste presque 1,5 million de fois dans votre vie !). Cela ne peut pas être neutre.

Un exercice respiratoire particulier…

Avez-vous remarqué que lorsque vous fumez, vous faites un exercice respiratoire particulier que vous ne faites à aucun autre moment de la journée ? Et cette façon de respirer vous calme comme le fait n’importe quel exercice de respiration !

Vous avez fait ces gestes des milliers de fois, sans réellement porter attention à comment vous fumez vraiment ? Alors observez-vous pour commencer à déprogrammer votre cerveau de la cigarette.
Peut-être prenez-vous une longue inspiration (quand vous inspirez la fumée) et peut-être que vous bloquez ensuite votre respiration quelques instants avant de faire une longue expiration ? Ou peut-être expirez-vous tout de suite si vous ne gardez pas la fumée ? Faites vous plusieurs respirations normales sans cigarette (et à ce moment-là, combien ?) avant de reprendre une longue inspiration ? Et combien de temps dure cet exercice respiratoire, 5 minutes ? Moins ? Plus ?

Observez-vous fumer car vous suivez un protocole qui est toujours le même… et cet exercice respiratoire que vous pratiquez plusieurs fois par jour (5, 10, 20 fois ou plus) vous apaise parce que votre inconscient a associé ce moment avec un instant de détente.

La respiration est très émotionnelle

Quand vous êtes stressé, vous avez une respiration rapide, courte et haute. Et quand vous êtes bien détendu, votre respiration est complètement différente, beaucoup plus profonde. Et vous avez associé inconsciemment le fait de fumer à un exercice respiratoire qui vous apaise.

La technique de la cigarette invisible

Dès la prochaine fois que vous avez envie de fumer, prenez une cigarette que vous n’allumez pas ou faites comme si vous aviez une cigarette à la main (alors que ce n’est pas le cas) et imitez-vous en train de fumer. C’est-à-dire reproduisez exactement les mêmes gestes, les mêmes inspirations et les mêmes expirations, bloquez votre respiration comme si vous reteniez la fumée, etc. Et faites cet exercice un peu bizarre (pour un œil non informé) dans le timing exact de la consommation d’une cigarette normale.

Si vous pratiquez cet exercice respiratoire exactement de la même façon que si vous fumiez une cigarette réelle vous allez expérimenter quelque chose qui va vous surprendre : cela vous détend tout autant que si vous fumiez vraiment car la cigarette trompe votre cerveau ! Elle n’est qu’un accessoire pour faire un exercice respiratoire particulier qui vous détend.

Passez à l’action maintenant !

  1. Fumez une cigarette normale et observez-vous bien en train de fumer. Chronométrez le temps d’une prise de cigarette.
  2. A l’envie de cigarette suivante, testez la cigarette invisible. C’est-à-dire respirez exactement comme si vous fumiez et dans le même temps.
  3. Observez l’état de détente obtenu et faites-nous profiter de vos commentaires. Vos retours d’expériences sont très intéressants !

 

Le livre à lire pour arrêter :

 


Une révolution des neurosciences : quand la pensée devient action… à distance !

Qui est l’intervenant ?

Directeur de recherche à l’institut Pasteur (unité Perception et Mémoire) et au CNRS (Gènes, synapses et cognition), Pierre-Marie Lledo explore sans relâche le fonctionnement de notre cerveau, ses possibilités d’adaptation et de régénération. Professeur invité à l’Université d’Harvard aux Etats-Unis, il travaille notamment sur l’interface cerveau-machine. Son parcours a été salué par de nombreux prix dont celui de l’Académie Nationale de Médecine en 2005.

Vers un cerveau connecté…

Dans cette intervention sur « la plasticité cérébrale ou la régénérescence », Pierre-Marie Lledo nous parle des capacités de régénérescence (ou d’atrophie) du cerveau humain qui est en permanente évolution et évoque notamment les expériences fascinantes réalisées à l’Université de Harvard sur les humains afin de transformer la pensée en action à distance! Une véritable révolution qui ouvre un univers de possibilités dans un avenir peut-être très proche …

Regardez maintenant cette intervention en cliquant ci-dessous :

 

 

Pour aller plus loin avec Pierre-Marie Lledo :


Guérir avec les thérapies brèves

Qui est Jérémy Demay ?

Jérémy Demay est un humoriste français installé à Montréal depuis 2005 où a été séduit par l’humour québécois.
En 2008, il participe au Grand Rire de Québec, où son numéro lui vaut la mention Révélation de l’année.
En novembre 2015, Jérémy lance son premier livre, « La Liste », qui met en valeur et en relief son parcours ainsi que ses apprentissages afin de bien vivre sa vie qui est devenu un « best-seller » avec plus de 50 000 exemplaires au Québec.

Sortir de la Dépression…

Selon certains médecins, seulement 10% des malades ont vraiment besoin d’anti-dépresseurs.
Avant de devenir un humoriste à succès et renommé au Québec, Jérémy a traversé une période difficile à son arrivée à Montréal. Dans cette conférence il nous explique comment il a réussi à déprogrammer son esprit des traumatismes et croyances de son passé et il nous livre les outils qui l’ont aidé à se sortir de sa dépression ( yoga, méditation, communication non violente et l’hypnose ) pour aller vers une vie heureuse et épanouie.

 

Pour aller plus loin avec Jeremy Demay :


Comment faire de votre STRESS votre ami ?

Le stress est-il votre ennemi ?

Il fait battre votre cœur, accélérer votre respiration et vous donne des suées… Vous sentez-vous stressé?
Alors que le stress a été désigné comme un ennemi de la santé publique (selon l’American Institute of Stress, il serait même responsable de 75% à 90% des consultations médicales et de 60 à 80% des accidents du travail), de nouvelles recherches suggèrent qu’il ne serait réellement mauvais pour vous que si vous croyez que c’est le cas.

Et si on voyait les choses différemment ?

La psychologue Kelly McGonigal nous enjoint de voir le stress plutôt comme un élément positif dont la fonction serait de nous stimuler au moment de passer à l’action. Dans cette intervention TED (avec les sous-titres en français), elle nous initie à un mécanisme nouveau et méconnu de réduction du stress : aller vers les autres.

Regardez ci-dessous son intervention en cliquant ci-dessous.

 

Pour aller plus loin avec Kelly McGonigal

Livre en français :

Livre en anglais :


 

9 techniques anti-stress qui marchent et 6 DANGEREUSES pour votre santé

Attention aux activités anti-stress dangereuses ! 

Selon une méta-étude réalisée par l’American Psychological Association, il existe des deux types d’activités qui réduisent le stress. Certaines ont un effet rapide et à court terme alors que d’autres ont plutôt un impact sur le long terme.

De plus, cette étude indique que les activités ayant un effet court terme peuvent s’avérer nocives voire dangereuses pour l’individu alors que les activités qui ont un effet à long terme ont un réel impact bénéfique sur la diminution du stress et qui dure dans le temps.

L’étude indique en effet qu’un certain nombre d’activités soit-disant antistress pratiquées régulièrement par une importante partie de la population ont un effet apaisant à très court terme mais entraînent en fait des conséquences douloureuses sur le long terme. Elles ne font qu’empirer le problème de stress à terme au lieu de le soulager.

Ces activités sont principalement :

  • Les jeux d’argent
  • Le shopping
  • Boire et manger
  • Les jeux vidéos
  • Surfer sur internet
  • Regarder la télévision plus de deux heures par jour.

Les techniques qui marchent vraiment

Toujours selon cette étude, il existe en revanche des pratiques qui permettent de réduire considérablement votre stress sur le moyen et le long terme. Elles sont pour la plupart déjà bien connues du bon sens mais cette étude vient ici valider ces croyances populaires par des chiffres et des statistiques.

Ces activités sont dans l’ordre :

  1. Faire du sport : il est évident pour tous que pratiquer une activité sportive quelques heures par semaine est bénéfique pour le corps qui a besoin de bouger, mais aussi pour l’esprit qui a besoin de s’apaiser.
  2. Prier ou participer à un service religieux : c’est maintenant prouvé par les neurosciences, prier comme méditer d’ailleurs, fait basculer le fonctionnement du cerveau dans des ondes cérébrales propices à la relaxation douce ou profonde (ondes alpha, théta ou gamma).
  3. Lire : au-delà de l’enrichissement intellectuel et culturel évident, lire permet de s’évader de son quotidien et de son stress ramenant le calme intérieur.
  4. Ecouter de la musique : le pouvoir de la musique qui agit directement sur l’inconscient n’est presque plus à prouver, la musique étant capable de faire ressentir des émotions variées, et comme le dit le dicton : « la musique adoucit les moeurs ».
  5. Passer du temps avec ses amis et sa famille : l’homme et la femme étant « des animaux sociaux », être entouré de ses proches ou intégré dans un réseau social est indispensable à la qualité de notre vie et même à notre santé et longévité comme le montrent un certain nombre d’études.
  6. Se faire masser : n’hésitez pas, si vous le pouvez, à vous faire masser régulièrement car il est important de se faire du bien et, en même temps, cette expérience kinesthésique reconnecte le corps et l’esprit amenant un apaisement profond.
  7. Faire une promenade dans la nature : le contact avec les éléments amène immédiatement un calme intérieur. Même cinq minutes à marcher les pieds dans l’herbe permet au mental de se relâcher.
  8. Méditer ou faire du yoga : plus de trente ans de retour d’expérience sur la méditation indique clairement les bienfaits de cette activité au niveau physique, psychologique mais aussi immunologique car les personnes qui méditent régulièrement sont plus en forme, plus sereine et moins sujettes aux maladies que les autres. A tel point que la sécurité sociale anglaise propose depuis quelques années de rembourser l’inscription au programme de méditation pleine conscience. Bien entendu d’autres genres de méditation sont tout aussi valables, de même que le sont les bienfaits reconnus du yoga et de toutes les activités de « type méditatif » qui proposent de « débrancher le cerveau ».
  9. Pratiquer un hobby créatif : faire du théâtre, de la peinture, jouer un instrument de musique… Autant d’activité qui font travailler notre cerveau droit (hémisphère créatif) tout en apaisant le mental qui peut se détendre dans le cadre d’une activité où la pensée analytique n’a pas forcément sa place.

Certaines de ces activités peuvent aussi être couplées entre-elles pour apporter encore plus de calme intérieur. Comme par exemple faire du sport ou lire en écoutant de la musique, méditer en marchant dans la nature, pratiquer un hobby avec ses amis, etc.

Il est cependant étonnant de constater que le sexe ne fait pas partie de cette liste d’activités alors qu’il semble pourtant évident que faire l’amour a un pouvoir calmant indéniable. L’étude ayant été menée par une association américaine, peut-être qu’un biais puritain a parasité son achèvement. 😉

A propos de la méditation…

Dans le point 8, les techniques méditatives sont nombreuses et chacun doit trouver celle qui correspond le mieux à son caractère et son style de vie. Certaines méditations se font assises dans le silence, d’autres peuvent se pratiquer en marchant, d’autres encore en répétant un mantra ou avec une voix qui accompagne, avec de la musique, etc.

Le temps que l’on y consacre peut aussi être variable. On parle parfois de 20 minutes 2 fois par jour (méditation transcendantale) ou 1 heure ou simplement quelques minutes… En fait, la méditation, c’est l’hygiène du cerveau et comme toujours en matière d’hygiène, il vaut mieux pratiquer un peu mais régulièrement.

Tout le monde y trouve ses bienfaits mais les personnes les plus sujettes au stress ont souvent tendance à manquer de temps pour pratiquer… La cohérence cardiaque, même si elle n’est pas véritablement  considérée comme une technique méditative, est de ce point de vue là un excellent compromis. C’est une méthode scientifiquement prouvée qui donne des résultats quasi immédiatement en ne se pratiquant que quelques minutes par jour seulement. Si le stress est un problème pour vous et que le temps vous manque, sentez vous libre de tester mon programme « Serenity 15 minutes » qui répondra parfaitement à vos attentes.


Berner le cerveau pour traiter les troubles d’anxiété

Anxiété, angoisse et crise de panique…

L’anxiété est un ressenti normal que nous vivons tous de temps en temps ( stress de vouloir bien faire quelque chose, prise de parole en public, passage d’un examen, etc. ). Mais elle est véritablement considérée comme un trouble du comportement à partir du moment où elle devient un problème qui handicape les personnes  dans leur vie quotidienne par des comportements d’évitement ( ne plus être capable d’aller au travail, de sortir de chez soi… ).

Un tiers de la population serait affecté par ces troubles ( phobies des transports, des araignées ou des couleuvres, les obsessions sur la propreté, la peur des images à caractère agressif, angoisse, la peur de parler en public, la peur des gens (agoraphobie), la peur des maladies, l’anxiété généralisée… )

2 choses contribuent au développement de l’anxiété

  • Ce ne sont pas les événements qui font peur mais la façon dont on les interprètent
  • l’évitement renforce progressivement cette peur

Les thérapies cognitives comportementales ou l’hypnothérapie amènent à s’exposer progressivement à ce qui fait peur dans la réalité ou dans l’imaginaire mais il existe maintenant aussi une nouvelle voie thérapeutique qui se développe grâce à la réalité virtuelle.

 

Vers une nouvelle voie de guérison

Stéphane Bouchard est titulaire de la Chaire de recherche du Canada en cyberpsychologie clinique à l’Université du Québec, où il s’intéresse à l’efficacité de la réalité virtuelle pour le traitement des troubles d’anxiété. Il étudie notamment comment une personne atteinte d’un trouble d’anxiété est en mesure de modifier les représentations mentales que contient sa mémoire, ce qui pourrait mener à la mise au point d’un traitement psychothérapique plus efficace.

Ses travaux permettront de mieux comprendre les facteurs qui influencent les processus thérapeutiques en cyberpsychologie, de réduire les coûts des environnements virtuels dédiés à des fins thérapeutiques et de rendre les traitements virtuels accessibles à un plus grand nombre de personnes. 

Regardez maintenant cette intervention TED :


Soigner le cerveau sans médicament grâce aux neurosciences

La révolution des neurosciences est en marche!

Elle s’accélère depuis 5 ans et s’apprête à transformer notre vie au quotidien. C’est la convergence de 2 avancées technologiques majeures qui ont générées cette avancée, à savoir :

Les évolutions dans le domaine de la mesure des activités cérébrales et l’analyse, les bénéfices issus des progrès en intelligence artificielle et en maths appliquées. C’est aussi la convergence simple, efficace, bon marché, utilisable par n’importe qui, n’importe où, de techniques d’analyse puissantes et automatiques. De nombreuses applications sont désormais disponibles : diminuer son niveau de stress, évaluer son niveau de vigilance lors de la conduite…

La promesse : soigner le cerveau sans médicament !

La promesse qu’offre les neurosciences, c’est pouvoir soigner le cerveau sans médicament, grâce au neurofeedback ! Illustration avec une application, véritable dispositif médical, à destination des enfants atteints du trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité.

Comme le kinésithérapeute apprend à rééduquer les muscles, la technique d’encéphalographie du neurofeedback permet de rééduquer le cerveau, comme le montre les applications développées pour le grand public ou en laboratoire comme le montre Louis Mayraud dans cette intervention TED passionnante.

Qui est Louis Mayraud?

Louis Mayaud a participé aux premiers travaux sur les interfaces cerveau-ordinateur à l’INRIA dans les années 2000, a ensuite travaillé auprès de patients atteints de handicap moteurs sévères aux hôpitaux de Paris (AP-HP) a fait une thèse à l’université d’Oxford (2013). Il est maintenant Directeur de recherche dans une jeune start-up Française, Mensia Technologies, implantée à Rennes et à Paris, et résolument tournée vers l’international où il développe des thérapies médicales basées sur l’analyse cérébrale temps réel. Les applications concernent notamment les domaines de la psychiatrie, du traitement des douleurs chroniques, de l’amélioration de la concentration ou encore du bien-être.

Vous voulez en savoir plus ?

Regarder maintenant cette vidéo en cliquant ci-dessous.

 

 

Pour aller plus loin :

 


Comment sortir d’une crise d’angoisse

Quand on fait une crise d’angoisse, on a littéralement l’impression que l’on va mourir. Le mental s’emballe et part dans ses pensées mortifères. Cette vidéo vous donne une technique simple et efficace pour reprendre le contrôle dans ces moments-là et faire redescendre cette sensation désagréable jusqu’à la faire disparaître totalement.

 


4 techniques pour destresser rapidement

Certaines situations de la vie quotidienne sont stressantes (examen, prise da parole en public, rdv d’embauche, aborder une inconnue…). Cette vidéo vous indique comment sortir du piège du mental pour retrouver ses esprits et le contrôle de soi.

 


Méditation : la grande énigme du cerveau

La méditation, c’est quoi?

La méditation constitue une grande énigme pour les scientifiques. Ses effets sur le cerveau permettraient-ils de vivre mieux et plus longtemps ? Pourrait-on l’utiliser en pratique quotidienne ?

Cette interview tv de Matthieu Ricard, méditant expérimenté, moine bouddhiste représentant français du Dalaï Lama, docteur en biologie et auteur du livre « L’art de la méditation » nous éclaire sur les avantages à pratiquer régulièrement cette technique.

Ce n’est pas un truc exotique!

Contrairement à une idée reçue, la méditation n’est pas un truc exotique et elle n’est pas réservée aux moines bouddhistes!

Comme le sport entretient le corps par l’exercice physique, la méditation est un exercice de l’esprit qui renforce l’équilibre mental.
C’est une technique d’entraînement de l’esprit qui a pour but de développer les ressources intérieures pour mieux gérer les hautes et les bas de l’existence. Ainsi, elle permet d’améliorer le corps et l’esprit par la meilleure gestion des émotions, du stress, des capacités cognitives (mémorisation, concentration, créativité) et elle réduit aussi significativement les maladies et pathologies de stress, la dépression et les risques de burn-out.
Les avantages physiques, psychologiques et immunologiques que l’on en retire peuvent être ressenti rapidement si l’on observe une pratique régulière même minimum.

C’est prouvé scientifiquement

Pendant la pratique de la méditation, on observe sous électro-encéphalogramme ou IRM, que le cerveau fonctionne en ondes gamma qui sont des ondes cérébrales très spécifiques durant lesquelles les différentes parties du cerveau se resynchronisent. De plus en plus d’études existent maintenant en Neurosciences sur cette pratique sur laquelle on a maintenant plus de trente années de retour d’expérience, notamment grâce aux travaux de Jon Kabat Zinn sur la méditation pleine conscience.
Il existe cependant d’autres types de méditation tout aussi valable, tels que la méditation transcendantale, bouddhique, zazen, vipassana, etc.
Pour plus d’informations, regardez l’interview tv éclairante de Matthieu Ricard.

Pour aller plus loin :

 


La voix dans ma tête est une connasse! L’intervention TEDx de Jonathan Lehmann

A la recherche du bonheur…

Depuis des milliers d’années, les civilisations humaines ont considérablement progressé. Les bonds technologiques nous permettent d’explorer l’espace et le fonds des océans, d’améliorer significativement notre confort et notre qualité de vie au quotidien mais en revanche aucun progrès n’a été fait sur la recherche du bonheur.

Dans cette intervention au TEDx, Jonathan Lehmann nous parle de son intérêt pour cette question et révèle trois techniques simples et efficaces pour être plus heureux au quotidien.

Qui est Jonathan Lehmann?

Ancien avocat d’affaires à Wall Street et Paris, puis entrepreneur web en Californie, Jonathan Lehmann anime aujourd’hui la communauté « Les Antisèches du Bonheur » sur Facebook et propose des méditations guidées sur YouTube. Il est passionné par les petites choses que l’on peut faire pour avoir un grand impact sur son bonheur au quotidien.

Ses trois antisèches du bonheur

Notre mental produit entre 60 et 70 000 pensées par jour, la plupart négatives. Dans ce talk Jonathan expose les 3 habitudes qui permettent de transformer ce mental tyrannique – cette voix dans la tête qui semble être la plupart du temps notre pire ennemie (dont je parle dans la vidéo je pense trop) – en un outil magique de bonheur : 3 habitudes qui changent la vie.

  1. La première habitude est de cultiver la gratitude au quotidien, pour en savoir plus, je vous propose de regarder la vidéo « Comment rendre votre cerveau plus heureux ».
  2. La seconde est de pratiquer une technique de méditation tous les jours car la méditation, c’est l’hygiène du cerveau, comme dans la vidéo « la méditation c’est pas pour les moines ».
  3. Et la troisième est de « vider les poubelles mentales », c’est-à-dire de prendre l’habitude d’écrire sur le papier (ou sur un document word) toutes les pensées qui encombrent notre tête de façon à calmer ce monologue mental incessant.

Pour aller plus loin :

La communauté des antisèches du bonheur sur Facebook


Méditations profondes, expériences mystiques et neurosciences : l’atelier du Dr Joe Dispenza en Italie!

Méditations profondes, expériences mystiques et neurosciences…
Il y a quelques semaines, j’ai vécu une expérience étonnante lors de l’atelier avancé du Docteur Joe Dispenza, ce spécialiste du cerveau mondialement connu. Dans cette vidéo, je vous fais un retour d’expérience sur cela et vous explique les nouvelles découvertes fascinantes sur les pouvoirs du cerveau.

 


Les neurotransmetteurs du bonheur avec Elisabeth Grimaud

Notre cerveau est électrochimique!

Notre cerveau est une pile car il est parcouru par une tension électrique qui circule dans nos 100 milliards de neurones, chacun étant relié aux autres par pas moins de 10 000 connexions. Cette tension est mesurable notamment grâce à un electroencéphalogramme (EEG).

Au niveau de chaque connexion entre deux neurones, il y a une sorte de vide (appelé l’espace intersynaptique) dans lequel s’échangent des molécules chimiques qu’on appelle les neurotransmetteurs. Vous avez peut-être déjà entendu parler des endorphines, de la dopamine ou de la sérotonine? Notre cerveau possède une soixantaine de ces neurotransmetteurs différents qui ont chacun des propriétés particulières (énergisant, euphorisant, calmant, excitant, apaisant, aimant…).

C’est grâce cette tension électrique et ces échanges chimiques que notre esprit (qui est le cerveau en action), fonctionne en permanence.

Alors que vous lisez ces lignes et avez une compréhension de l’introduction de cet article (je l’espère!), votre cerveau est parcouru d’un courant bioélectrique et vos nombreux neurones échangent ces fameux éléments chimiques. C’est comme cela que fonctionne votre esprit.

Cette chimie du cerveau a une incidence directe sur notre humeur, nos ressentis, nos émotions et notre personnalité. Nous savons bien à quel point cette chimie en nous (dans le cerveau avec les neurotransmetteurs comme dans le corps avec les hormones) peut influencer notre personnalité.
A titre d’exemple, en fonction de son cycle menstruel, une femme peut avoir des réactions complètement différente. De même que sous l’emprise du désir, nous pouvons parfois faire des choses insensées…

Mieux utiliser son cerveau pour être plus heureux…

Elisabeth Grimaud est une psycholinguiste diplômée d’un double Master en Recherche des Sciences du langage et Psychologie. Egalement diététicienne et éducatrice sportive, elle est une passionnée de ce cerveau génial qu’elle explore et étudie sous tous ses angles avec un seul objectif : en améliorer le mode de fonctionnement et les capacités.

Dans cette intervention au TEDxRoanne, Elisabeth nous explique le fonctionnement du cerveau à travers une balade dans l’Alhambra et comment mieux l’utiliser pour trouver le bonheur.

Pour aller plus loin, je vous conseille la lecture de ce livre :

 


La cigarette trompe votre cerveau !


Vous êtes persuadé(e) que la cigarette est un vrai plaisir alors que la première que vous avez fumé avait vraiment mauvais goût… C’est parce que votre cerveau se fait abuser malgré vous. Découvrez cela dans cette vidéo.


Déprogrammez votre cerveau de la cigarette


L’addiction à la cigarette, c’est beaucoup plus qu’on ne le pense, une question d’habitude. Cette vidéo vous explique comment modifier les anciens conditionnements pour retrouver votre liberté sans efforts.


Comment changer d’état émotionnel à volonté

Les émotions font le relief de la vie et c'est normal de les vivre toutes. Le problème, c'est quand on reste bloqué(e) dans une émotion. Cette vidéo présente une technique simple et efficace qui permet d'apprendre à changer d'état émotionnel en un instant et reprendre ainsi le contrôle sur ses émotions. Les émotions font le relief de la vie et c’est normal de les vivre toutes. Le problème, c’est quand on reste bloqué(e) dans une émotion. Cette vidéo présente une technique simple et efficace qui permet d’apprendre à changer d’état émotionnel en un instant et reprendre ainsi le contrôle sur ses émotions.


Gérez votre stress sans effort et sans perdre de temps

Un podcast pour vous apprendre à maîtriser une technique-antidote contre le stress qui est ce poison que l’on nous inocule au quotidien. Le stress réduit nos capacités cérébrales et épuise nos ressources physiques pouvant nous amener jusqu’à des extrémités (pathologies de stress, déprime, dépression, burn-out). Cette méthode va vous permettre de reprendre le contrôle et aller vers un mieux-être.

Vous pouvez écouter ce podcast en cliquant sur le bouton play en haut ou télécharger le mp3 en cliquant sur ce lien.


Arrêtez de FUMER avec la cigarette INVISIBLE

 

Une technique simple pour se libérer de la cigarette en douceur de façon efficace et confortable. Fumer est un exercice respiratoire particulier que l’on ne pratique que lorsque l’on fume une cigarette. On expérimente alors une impression de détente mais qui est dûe en grande partie à cette pratique d’une respiration calmante.


Comment déprogrammer votre cerveau de la cigarette

Luciano Belviso

Accroc, oui mais comment?

Le problème de l’addiction à la cigarette se divise en en trois :  l’addiction physique, l’addiction psychologique et comportementale.

1. L’addiction physique.

C’est celle que tout le monde croit avoir mais que très peu de gens ont. Si vous faites partie de ceux qui rentrent en transe dans un avion après deux heures de vol, qui sont pris de sueurs, de tremblements et de toutes les caractéristiques d’un drogué en état de manque, alors vous avez une véritable addiction physique à la cigarette.
Sinon, cela ne vous concerne pas. Une thérapie médicamenteuse ou un accompagnement thérapeutique de qualité (hypnothérapie, psychothérapie classique, thérapie comportementale…) sera alors probablement nécessaire pour vous libérer de la cigarette.

2. L’addiction psychologique

On la retrouve en revanche chez la plupart des fumeurs. Elle est suffisamment puissante pour faire croire qu’elle est physique, car le mental est assez puissant pour créer ce type de réactions dans le corps, comme c’est le cas avec l’effet placebo ou nocebo.

L’addiction psychologique fait passer la cigarette, dans l’esprit du fumeur, comme une tentative de solution pour gérer les émotions. Les fumeurs y voient une béquille psychologique qui leur permet de mieux gérer leur stress, anxiété, peurs sociales ou solitude.

La solution réside alors dans un travail sur soi pour apprendre à mieux gérer ses émotions autrement, seul(e) ou avec l’aide d’un professionnel (hypnothérapie, acupuncture, shiatsu, patches…) ou par la technique dont je parle dans l’article “Comment arrêter de fumer en votant FN!”.

3. Le comportemental

Ce sont les habitudes et c’est souvent la partie la plus importante. On retrouve cette problématique chez la plupart des fumeurs car la cigarette possède le talent de s’associer très facilement à tous les contextes de vie.
Le corps est habitué à faire le geste de fumer (si vous fumez un paquet par jour, soit 20 cigarettes, et que vous portez une cigarette disons 10 fois à la bouche pour la fumer entière; vous faites le geste de fumer 200 fois par jour. Si vous fumez depuis 20 ans, vous aurez au final fait ce geste presque 1,5 million de fois dans votre vie). Cela ne peut pas être neutre.

Mais au-delà de ce geste répétitif, la cigarette s’est aussi associée à des moments positifs particuliers : la cigarette et le café, la cigarette et la pause, la cigarette et la fin du repas, la cigarette et la sortie du bureau, la cigarette et l’apéro, la cigarette rituel de fin de journée, la cigarette avant de se mettre au lit…

Votre cerveau est conditionné

Ivan Pavlov, un scientifique russe né au milieu du XIXe siècle, a été un des premiers a travailler sur les réflexes conditionnés, notamment avec sa célèbre expérience sur la salivation des chiens.

A plusieurs reprises, il fait sonner une cloche chaque fois qu’il présente de la viande aux chiens,  entraînant ainsi les chiens à associer par la répétition, un stimulus neutre (la cloche) avec un stimulus porteur de sens (la viande). Après un certain nombre de répétitions, les animaux intègrent dans leur mémoire un lien entre les deux stimuli. Lorsqu’ensuite Pavlov fait simplement sonner la cloche (sans présenter de nourriture), les chiens salivent. Le conditionnement est créé.

Ce qui se passe dans le cerveau du chien se produit de la même façon dans le nôtre. Des liens se créent entre la cigarette et les différents stimuli de l’environnement et le cerveau en tire un apprentissage, à l’insu même de son propriétaire. On parle alors de réflexes conditionnés. Mais à la différence des réflexes simples (comme le réflexe rotulien), ne faisant pas intervenir les centres supérieurs cérébraux, ces associations établies entre la cigarette et des expériences sensorielles sont liées à un apprentissage plus complexe mettant en jeu différentes structures cérébrales.

Ainsi, la cigarette s’associe à différents moments qui rythment la journée et la répétition de ces moments renforce en permanence ce conditionnement. Le fumeur n’est alors plus libre de ces mouvements, il est conditionné car son cerveau est programmé malgré lui.

Une grande partie des envies de fumer ressentie par le fumeur ne sont alors ni dues à un manque physique de nicotine, ni dues à un besoin de béquille émotionnelle mais simplement à la répétition d’un geste associé, comme les chiens de Pavlov. Le fumeur a brusquement envie de fumer, les chiens salivent, même combat.

Comment reprogrammer votre cerveau ?

Par ce réflexe dit de Pavlov, le fumeur est programmé malgré lui à avoir envie de fumer dans tous les contextes de vie qui correspondent aux stimuli.

Comme je l’évoquais un peu plus haut, les principaux stimuli sont :

– le moment du réveil

– la prise de café

– les trajets pour aller au travail

– le début de la journée de travail

– les pauses au travail

– la fin des repas

– une conversation téléphonique

– la fin de la journée de travail

– le moment de l’apéritif

– les soirées

– avant d’aller se coucher…

La méthode des plans « B »

Pour pouvoir se libérer de ces réflexes conditionnés qui vous enchaînent, il va falloir mettre en place des plans B, c’est-à-dire de nouveaux comportements ou de nouveaux contextes que vous allez installés pendant 21 jours et qui vont vous permettre de dépasser l’envie réflexe de cigarette.

Voyez cela comme une mécanique bien huilée : la cigarette a été fumée tellement de fois avec la prise de café que, dès que vous buvez un café, c’est plus fort que vous, vous avez envie d’une cigarette. Vous êtes tel le chien qui salive, c’est Pavlovien!

Pour installer une nouvelle habitude, il faut trois semaines. Et pour désinstaller une mauvaise habitude, il faut autant de temps. Mais la nature ayant horreur du vide, lorsque vous voulez supprimer une ancienne habitude, il convient de la remplacer durant cette période par une autre action qui va venir en substitution : ce que j’appelle le plan B.

Alors pour lutter contre cela et retrouver votre liberté d’esprit, je vais vous proposer ci-dessous un certain nombre de plans B que vous allez pouvoir mettre immédiatement en place, et ce, durant les trois prochaines semaines. Ce qui va vous permettre d’en finir avec votre addiction à la cigarette ou du moins, vous permettre de la diminuer significativement.

Anciens réflexes conditionnés

Propositions de plans B
pour se déprogrammer
(à faire pendant 3 semaines)

 La cigarette au moment du réveil

 Allez prendre votre douche en premier

 La cigarette avec la prise de café

 Ne buvez plus de café ou passez au thé  pendant 3 semaines

 La cigarette durant les trajets pour aller
au travail

 Optez pour une autre habitude buccale :
le chewing gum

 La cigarette pour commencer le début de la journée de travail

 Faites un exercice de respiration, ou étirez-  vous, ou faites 10 pompes

 La cigarette durant les pauses au travail

 A la place, prenez un chewing gum ou un verre  d’eau

 La cigarette à la fin des repas

 Allez vous brossez les dents à la fin du repas

 La cigarette lors d’une conversation téléphonique

 Verre d’eau, chewing gum, thé…

 La cigarette à la fin de la journée de travail

 Faites un exercice de respiration ou étirez-  vous ou faites 10 pompes

 La cigarette au moment de l’apéritif

 Changez votre boisson habituelle : si vous  buvez de la bière, passez au rosé (ou autre  boisson de votre choix)

 La cigarette en soirée

 Changez votre boisson habituelle : si vous  buvez de la bière, passez au rosé (ou autre  boisson de votre choix)

 La cigarette avant d’aller se coucher

 Optez pour une tisane ou un verre d’eau

 La cigarette après l’amour

 Idem

Votre cerveau a des envies « flash éclair »

Une fois que vous serez enfin libéré(e) de la cigarette, il y aura encore toujours des envies “flash éclair” qui correspondent à des stimuli contextuels (exemple : dans une soirée, vous voyez un ami avec un verre à la main et une cigarette et l’envie de cigarette apparaît).

J’appelle cela des envies “flash éclair” parce qu’elle ne durent pas. Les études montrent que ces envies passent d’elles-mêmes – que la pulsion de cigarette soit assouvie ou non – entre deux et trois minutes. Vous serrez les fesses et ça passe.

C’est le même principe que lorsque vous passez devant une bonne boulangerie. Les études montrent que les gens ralentissent le pas à cause des odeurs de pains et de croissants. Passé le coin de la rue, ils n’y pensent plus.

Pour la cigarette, c’est la même chose. A partir du moment où vous reprogrammez votre cerveau et le libérez de cette habitude ancrée, il existe toujours quelques connexions neuronales liées à la prise de cigarette. C’est elles qui activent des envies “flash éclair”. Mais ces dernières n’étant plus stimulées par la répétition des gestes du fumeur, elles vont disparaître progressivement sur quelques semaines voire quelques mois en fonction des personnes.

crédits photos Luciano Belviso

 

 


Comment arrêter de fumer en votant FN !

flickr.comvolver-avanzarVous avez envie d’arrêter de fumer mais vous vous sentez incapable d’y arriver seul(e)?
Vous croyez que vous n’avez pas assez de volonté pour vous libérer de la cigarette?
Vous vous trompez!

Je vais vous donner une méthode étonnante, simple et efficace pour en finir avec le tabac maintenant.

 

Condition de base : être décidé(e)

Pour réussir un arrêt du tabac, il faut être prêt(e).
On commence souvent à fumer à l’adolescence, pour faire comme les copains (les études marketing montrent que si le consommateur commence à fumer avant 21 ans, il a plus de chance de devenir un consommateur à vie. C’est pourquoi les publicités encore non-interdites ciblent en premier les ados).
C’est avec le temps que l’envie d’arrêter peut parfois venir, ou avec un accident de la vie (cancer du poumon d’un proche) ou à la grâce d’un heureux événement comme l’arrivée d’un bébé.

Un jour, on se sent prêt(e) pour passer le cap. Cette décision ne se prend pas avec la tête mais avec les tripes. A ce moment-là seulement on est prêt à arrêter. Avant, c’est trop tôt et ça n’aurait pas marché ou pas tenu.

Deux cerveaux et un carnet de chèques

Vous allez avoir besoin de deux choses essentielles pour arrêter de fumer par cette méthode :

1. votre carnet de chèques
2. une personne de confiance. Choisissez dans votre entourage un proche dans lequel vous avez absolument confiance : votre meilleur(e) ami(e), votre mère, votre père, votre frère ou cousin(e). Quelqu’un à qui vous ne mentez pas.

La technique pour arrêter de fumer maintenant

Cette méthode simple et efficace se décompose en trois étapes distinctes :

1. L’ennemi

Il va falloir vous choisir un ennemi. Choisissez une personne, une organisation, un parti politique que vous détestez car il se trouve à l’opposé de vos valeurs. Plutôt mourir que de lui/leur donner quelque chose.
Pour l’exemple, on va imaginez que vous choisissez le Front National.

2. Le chèque

Dans un second temps, remplissez un chèque à l’ordre de votre ennemi justement, pour un montant de 500 euros. Vous avez bien lu, pas 100, ni 200, ni 300 ou 400 mais bien 500 euros! Le montant a son importance. Puis vous datez et signez le chèque.

3. Le double engagement

Remettez le chèque de 500 euros, à l’ordre de votre ennemi juré, à votre personne de confiance et engagez-vous auprès d’elle à ne pas toucher une cigarette pendant 30 jours à partir du jour de la remise du chèque.
Pas une cigarette, pas une demi cigarette, même pas une taf. Pas d’excuse.
Engagez-vous également à être complètement transparent avec elle et à la tenir au courant de tout manquement. Donnez votre parole. C’est une personne de confiance, elle croit en votre parole et vous ne pouvez pas lui mentir.

De son côté, elle s’engage, si jamais vous touchez une cigarette (même juste une fois) à envoyer directement votre chèque sous enveloppe à l’adresse de la personne ou au siège de l’organisation ou du parti politique que vous détestez, à titre de don gracieux. Pas d’excuse, pas d’exception.

Une technique qui hacke le cerveau!

Il est très difficile de se libérer d’un comportement addictif comme le fait de fumer car on pense souvent ne pas avoir les capacités d’y arriver. En revanche, quand vous faites appel à des valeurs plus élevées comme celles liées à des opinions politiques ou à des valeurs personnelles essentielles pour vous, l’engagement est plus fort que vous et vous trouvez des ressources mentales et physiques que vous ne soupçonniez pas. C’est un combat qui vous dépasse, vous transcende. Votre cerveau gère ça comme une mission plus grande que vous.

On retrouve ce phénomène chez les fumeuses qui s’interdisent l’idée d’empoisonner bébé et arrêtent souvent très facilement de fumer dès qu’elles sont enceintes. Elles se permettent de s’intoxiquer mais empoisonner bébé n’est pas une option.

Trente jours pour libérer votre cerveau de la cigarette

30 jours suffisent. En tenant ce délai sans toucher une cigarette, pour ne pas faillir à votre mission, vous vous permettez de vous libérer totalement de la cigarette. 30 jours suffisent pour perdre l’habitude du geste lié à la cigarette et sont suffisants aussi pour évacuer 99% de la nicotine présente dans votre organisme. Vous avez perdu le geste du fumeur, votre corps est nettoyé du poison, bienvenue chez les non-fumeurs!

crédits photos flickr.comvolver-avanzar